Le président russe a évoqué la possibilité d'une trêve pendant la compétition sportive, du 26 juillet au 11 août, lors de son discours de victoire, tout en excluant de négocier "simplement parce que l'ennemi essaie de gagner du temps en raison de la pénurie de munitions". Emmanuel Macron, de son côté, a indiqué que la France suivrait les choix du Comité international olympique (CIO) concernant la participation des sportifs russes aux Jeux de Paris, précisant que la Russie en tant que pays ne serait pas présente, mais que des athlètes pourraient concourir sous bannière neutre. Le président français a souligné que cela ne signifiait pas un compromis sur la souveraineté et l'intégrité territoriale de l'Ukraine.
Le CIO a décidé que les sportifs russes et biélorusses participeront aux Jeux de Paris sous bannière neutre, une mesure similaire à celle mise en place lors des Jeux de 1992 à Barcelone pour les Serbes et Monténégrins. Les athlètes concernés ne pourront concourir qu'à titre individuel, sans représenter la puissance sportive russe dans les épreuves par équipe, et devront prouver qu'ils n'ont pas soutenu l'offensive russe en Ukraine. Le président du CIO, Thomas Bach, a confirmé que ces conditions resteront en place, accueillant ceux qui les suivent et excluant ceux qui ne le font pas.
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